N°236 - Si belle et si brûlante

Publié le par Erotica51

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Ce soir, après avoir lu son journal devant la cheminée, l’Homme Chat fronça les sourcils. Pas d’odeurs alléchantes venant comme chaque jour de la cuisine, sous les doigts magiques de Marie. Que faisait donc cette petite ? Déjà hier, elle paraissait être ailleurs…Un bref regard à sa montre : Presque 20h ! Ce n’était pas normal ce silence…

 

L’homme jeta quand même un regard dans la cuisine puis monta à l’étage, où se trouvait la chambre de la jeune servante. Des quintes de toux terribles résonnaient dans la chambre. Il frappa, par correction mais n’obtenant pas de réponse, ouvrit doucement la porte. La pauvre enfant était allongée sur son lit, toute habillée, le regardant, les yeux brûlants de fièvre.

 

-         Mon dieu, Marie. Pourquoi ne pas m’avoir dit que vous étiez souffrante ?

-         Ce n’est rien, Monsieur…Je m’excuse de ne pas avoir eu la force de préparer votre repas. Une nouvelle quinte de toux la secoua

-         Je vais appeler mon médecin tout de suite. Pas question que vous restiez dans cet état, toute la nuit….

 

L’Homme Chat posa sa main sur son front. Marie était toute fiévreuse, les yeux brillants, la bouche sèche.

 

-         Je reviens de suite…lui chuchota-t-il

 

Son premier réflexe fut d’appeler le Dr Gérard mais celui-ci était au chevet d’une patiente qui avait voulu accoucher chez elle. Cela risquait d’être long car c’était son premier enfant. Ayant longuement répondu aux questions du médecin, l’Homme Chat écouta les conseils que celui-ci lui donnait. Le docteur promit de passer, examiner la jeune soubrette, dès le lendemain.

 

Remontant quatre à quatre, le grand escalier, il versa un peu d’eau fraîche dans un verre et fit avaler à Marie un cachet afin de faire descendre sa fièvre. Elle but avec soif, murmurant un merci inaudible, rejetant la tête en arrière comme si cet effort l’avait brusquement exténuée.

 

Indécis, l’Homme Chat se demandait que faire. Il ne pouvait la laisser ainsi. Bien qu’elle soit toute habillée, la pauvrette paraissait grelotter. Mieux valait l’aider à la déshabiller et la mettre sous ses couvertes, se dit il. Elle paraissait si fragile, soudain, qu’il en eut la gorge serrée.

 

C’est avec beaucoup de délicatesse qu’il ouvrit les multiples petits boutons de son corsage, un à un. Au fut et à mesure que son corsage s’entrouvrait, l’Homme Chat sentait une étrange chaleur lui envahir le bas ventre. Puis une fois le corsage enlevé, il retira sa jupe noire, se demandant intrigué, quels dessous, la petite aimait porter. Mais ce n’était pas fini, il y avait un petit jupon, garni de fine dentelle sur le bord. Elle lui apparut en slip et soutien gorge…Les cuisses à demi cachées dans des bas satinés, la taille enserrée dans un charmant serretaille. Il eut un sourire. Voila d'ou lui venait cette cambrure particulière ! Un peu embarrassé, il se gratta le menton. Devait il poursuivre son déshabillage ? La pauvre enfant se remit à frissonner. Mieux valait se dépêcher au lieu de se laisser troubler…

 

C’est délicatement qu’il fit glisser, le long de ses jambes, ses bas soyeux, dans un doux crissement. Puis il la fit asseoir, petite poupée désarticulée, dégrafant son soutien-gorge, d’un geste  précis. Il resta immobile, la gorge sèche soudain, contemplant ses beaux seins épanouis, dressés vers lui, comme s’ils appelaient la caresse de sa main…C’était encore plus dur de résister qu’il ne s’y attendait. Il se mordit la lèvre, se morigénant. Ce n’était vraiment pas le moment d’avoir des pensées lubriques !

 

Quand il attaqua sa petite culotte, il eut un nouveau sourire. C’était vraiment une très petite culotte ! Sa grand-mère aurait poussé des cris scandalisés en voyant le peu de surface que cela recouvrait, en réalité. Il déglutit avec difficulté quand le tissu soyeux glissa sur son petit ventre à la chair si  tendre, puis dévoila son petit triangle secret, aux reflets dorés, si doux, qu’il en resta sans voix…Malgré lui, son doigt s’y attarda doucement…incapable cette fois de resister...Juste une caresse !

 

Elle paraissait si femme en tenue d’Eve et en même temps, elle était si vulnérable…Il la souleva délicatement, entre ses bras puissants, la glissant entre ses draps frais, puis lui fit avaler une cuillère de sirop, avant de redescendre au salon. Mieux valait laisser la porte ouverte cette nuit. Si son état s’aggravait, il pourrait l’entendre si elle l’appelait…Il devait se restaurer maintenant mais avant, il avait furieusement besoin d’un sérieux remontant ! La nuit risquait d'être longue...et ses rêves bien troubles ! 

 

 

5/2/08

 

Marie

Publié dans Histoires érotiques

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Commenter cet article
L
L'Homme Chat ne trouvait pas le sommeil, son regard se portait vers la chambre... Instinctivement, il passa sa main sur son ventre et son poignet heurta sa verge dure comme du bois... Il n'en pouvait plus, il fallait qu'il la rejoigne : non elle n'était pas bien, mais peut-être qu'au réveil... La nuit allait être longue... A moins que la fièvre ne tombe... Il se retourna sur le ventre nerveusement....
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E
Quelle étrange nuit...faites de songes brulants et d'une fièvre secrete pour l'Homme Chat...La suite aujourd'hui. <br /> <br /> Baisers taquins.<br /> <br /> Marie
A
Existe-t-il des antibiotiques pour soigner les envies de hommes-chats?...Un bon whiskey peut-être...?  
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E
Bonjour ArthiJ'avoue hesiter...Un tres bon whisky apporte  parait il autant de plaisir qu"une femme... sourire.Bisessss Arthi.Marie amusée..