N°208 - Une Surprise pour le Maître

Publié le par Erotica51

 

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Elle sentit un long frisson d’excitation en le voyant ainsi cambré devant elle, les fesses largement offertes, impatient du moment ou elle lui lécherait son œillet. Monsieur avait un bien joli cul ! Elle humecta son doigt puis le dirigea sur sa rosette, le titillant savamment, lui laissant entrevoir le programme qui l’attendait.

 

Au jeu de l’amour, elle aimait prendre son temps, voir monter l’excitation de son partenaire jusqu’à ce qu’il la supplie de l’achever. Elle sentait bien qu’avec Monsieur, les jeux allaient devenir de plus en plus coquins.

 

Quand celui-ci fut suffisamment titillé, elle l’obligea à se pencher en avant, posant les mains bien à plat sur le bord de la baignoire, pendant que sa bouche approchait. De la paume de la main elle lui caressa les fesses, déposant de légers baisers onctueux par endroits, puis engagea sa langue dans le sillon de ses jolies fesses, lui faisant goûter à sa spécialité : la langue de la chatte ! Sous la précision de la langue il se sentit frémir de la tête aux pieds.

 

La langue agile le fouillait, caressant chaque repli, jouant à l’exciter, glissant sur ses bourses en même temps jusqu’à les sentir engorgées de son jus. Monsieur se mit plus fort à soupirer. Il craquait. Déjà, il sentait bien qu’il ne tiendrait plus longtemps. Avant qu’il ait pu faire un geste, la diablesse avait saisi sa verge, le masturbant tout en le relechant.

 

Monsieur émit un bref grognement. Sa queue était tendue au maximum et son gland violacé paraissait sur le point d’exploser. Fermement, elle l’obligea à se retourner vers elle, le fixant d’un air provocant.  Qu’allait-elle lui faire encore subir ? Inquiet, il la vit plonger la main dans un sac à ses pieds, un léger sourire cruel flottant sur ses lèvres.

 

-         Si Monsieur veut bien se retourner et se baisser à nouveau, dit elle d’une voix rauque d’excitation…

-         Je suis à ta disposition, ma petite…dit Monsieur, tout émoustillé par ce qui l’attendait.

 

Elle sortit du sac un magnifique olisbo en ivoire blanc, l’humectant généreusement de sa langue avant de le poser, perfidement, sur son œillet tout frémissant. Elle joua avec son entrée jusqu’à ce qu’il se détende puis le fit glisser en lui, en le pilonnant en cadence. De l’autre main, qu’elle avait glissé devant, elle le branlait en même temps, le poussant inexorablement dans ses derniers retranchements.

 

Il avait le feu au cul mais reconnut qu’elle savait bien s’y prendre quand quelques minutes plus tard, Monsieur émit de longs de sperme du plus beau blanc. Légèrement ébranlé, encore sous l’émotion, il retira lui-même l’olisbo, avant de s’asseoir sur son séant.

 

-         Monsieur a apprécié ce petit traitement ? demanda la gourgandine d’un air innocent, les yeux encore brillants d’excitation.

 

Cette petite effrontée ne perdait rien pour attendre quand sa queue serait redevenue vaillante !

 

-         Rit donc,  ma mignonne !  Car moi aussi, je pourrai bien te réserver un petit traitement de ma composition. Mais pour l’instant, j’aimerai bien me substanter car cet exercice imprévu m’a mis en appétit. File vite me préparer un plat chaud à la cuisine…pendant que je fais ma toilette.

 

Pouffant de rire, la drôlesse passa devant lui, en tortillant ses fesses aguichantes, sa chatte trempée d’excitation sagement cachée sous son petit tablier blanc. Sous la douche, Monsieur réfléchissait au traitement qu’il allait lui infliger pour avoir été aussi  cochonne avec lui…. 


4/1/07 

Marie

Publié dans Histoires érotiques

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R
Merci pour ton autorisation , dès que j'ai mis l'article en ligne je te préviens..
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E
Bonjour Raksha.<br /> <br /> Donne moi ton adresse ou envoie la moi et je te l'enverrai en copie par courrier de ma boite à mails. <br /> <br /> Marie
V
En se douchant, il repensait aux plaisirs ressentis par le va-et-vient de l'Olisbo sous les doigts experts de la coquine servante. C'était, hormis les doigts qui lui avait déjà procuré ce plaisir, la première fois qu'on l'empalait ainsi avec un ustensile plus ample, il avait aimé, aimé aussi voir briller ses yeux, et décida de lui subtiliser à son insu pour l'utiliser à son tour le moment venu. La coquine avait l'air gourmande, il allait donc faire en sorte, en plus, que son plaisir à elle n'en finisse pas de venir, que l'attente en devienne aussi insupportable qu'insoutenable. L'Olisbo allait sans doute être d'une utilisation très lente, vraiment très lente....
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E
Hummm ...Valmonbis.<br /> <br /> Je découvre une certaine complicité....dans nos pensées. Sourires.<br /> <br /> A plus tard sur ce sujet. Baisers coquins. <br /> <br /> Marie <br />
A
Quel traitement va-t-il lui infliger ? Le lavement peut-être ?
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E
Bonjour André. <br /> <br /> L'idee me parait interessante...Je vais y reflechir ...Bisesss.<br /> <br /> Marie