N°206 - Le Retour du Maitre
Valmontbis :
Et quand l'homme chat rentra, et vit la servante endormie dans sa couche, il colla sa bouche sur ses reins encore chaud et descendit doucement sa langue entre ses fesses humides qui s'écartèrent doucement dans son sommeil, instinctivement... Elle allait être profondément réveillée... Baisers...
Erotica51 :
Elle s'étira, cambrant les fesses, savourant cette savoureuse caresse. Comme son rêve était agréable ! Une langue fouillait sans vergogne son oeillet, avec une vigueur qui la laissa abasourdie. Elle commença à onduler, dès que la langue se faisait un peu plus précise, caressant innocemment sa chatte soudain enflammée et bien réveillée.
Elle avait chaud, si chaud brusquement. Elle se retourna, chassant nerveusement à coups de talons le drap et couverture qui la recouvraient et resta sans voix ! Son Maître était devant elle, le regard rempli de convoitise, les lèvres encore humides de sa cyprine.
- Que faites-vous dans mon lit, petite dévergondée ?
- Je..je n'arrivais pas à dormir et puis j'avais bien trop froid dans ma petite chambre...Etes-vous fâché ?
- Disons que je le serai moins Marie, si tu venais m'aider à prendre mon bain. la route a été longue et cahoteuse. je me sens tout courbaturé...
- Je vous prépare tout de suite un bon bain moussant ; allongez vous en attendant pendant que je me rhabille...
- Non, j'aime l'idée de te voir seulement vêtue de ton tablier, sans rien dessous...répondit celui ci, la fixant d'un regard concupiscent.
Les joues rosies, la chatte émoustillée par les dernières caresses de son Maître, l'Homme Chat, Marie se releva, prenant un certain plaisir à dévoiler la fente rose de son intimité toute luisante de plaisir...
- Et dire que j'avais cette coquine sous la main sans m'en douter ! J'ai eu une bonne idée de rentrer plus tôt que prévu ! Hé hé, je sens que je vais bien m'amuser maintenant...Il laissa sa main descendre sur son bas ventre, sentant sa queue durcir...Cette petite diablesse allait en avoir pour son grade !
- Monsieur, votre bain est prêt, murmura Marie, les joues rosies, en s'inclinant devant lui, juste vêtu de son petit tablier blanc, qui dévoilait sa poitrine gonflée d'excitation....
- Frictionne moi, coquine ! Lui ordonna-t-il
Les yeux fermés, il savourait ses mains qui le frottaient, le massaient, et souvent il devait bien l'admettre, paraissaient le caresser...alors que la coquine prétendait avoir fait glisser le savon au fond du bain. Il ne perdait rien de ses deux seins qui s'agitaient en cadence sous son nez, faisant passer au bord de ses lèvres deux petites mures bien trop délurées....
à suivre
Erotica51